- Pourquoi nous avoir reçu lors de la première Robot Days en octobre 2020 ?
« A un moment de mon parcours, je me suis remis en question par rapport à la charge de travail engendrée par une salle de traite. Passionné par l’atelier lait, je ne me voyais pas arrêter la production mais je cherchais des solutions pour réduire mon temps de travail lié à la traite. J’ai d’ailleurs participé à un groupe formation animé par Patrick LITOU, Consultant Projets & Stratégie, sur le sujet.
Ma réflexion s’est donc orientée vers les robots. Je connaissais Denis DENION, Consultant Robot & Nutrition, de réputation et j’ai donc fais appel à ses services. Très satisfait de l’expertise apportée, je tenais à partager mon expérience avec des éleveurs qui se posent à leur tour la question d’installer ou non un robot. »
- Pourquoi incitez-vous les éleveurs à venir à cette deuxième Robot Days ?
« On ne peut pas acheter un robot comme on achète un tracteur. C’est important de tout analyser car c’est un changement énorme en terme de travail. Il faut appréhender l’installation d’un robot de traite comme une deuxième installation !
Dans mon parcours d’installation du robot, j’ai eu la chance de visiter plusieurs exploitations déjà équipées. Pour moi, il est nécessaire de passer par là et d’être en relation avec un expert sur le sujet.
Le fait d’être en robot impose d’être encore plus vigilant sur les points techniques car toutes dérives s’accentuent encore plus vite. Pour ma part j’ai refait les chemins d’accès, j’ai revu la préparation vêlage et je suis en projet de faire un pédiluve.
J’ouvre donc ma ferme le 16 mars lors des Robot Day's aux éleveurs qui se pose la question d’installer un robot. Venez ! »